L'austérité, on a donné !

21 Octobre 2012

En 2012 on va leur faire un dessin

L'austérité ce n'est pas la solution

Cliquez sur le lien ci-dessous

http://www.robert-injey.com/article-l-austerite-en-video-111423987.html

Fermeture des maternités = Mort d'un nouveau né.

LFB, un labo pharmaceutique public en danger

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gagniere

08/11/2012 15:33

UN VRAI LA BYRINTHE LES CITOYENS QUI N'ont j'amais fait un labyrinthe le peuvent maintenant avec le nouveau plan de circulation de la ville de romans quand les habitants ont til etez consulter sur ce projets elle est jolie la democratie du peuple ce plan est tres compliquer pour les citoyens romanais ceci est devenuts un vrai labyrinthe coments ce plan as t il etez etudier jmg

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GAGNIERE

05/11/2012 15:49

ENCORE DES CADEAU EAU PATRONAT VOICI LA POLITIQUE DU GOUVERNEMENTS GAUCHE CAVIARDS REDUIRE LES TAXE SUR LES ENTREPRISE SUPRIMER LES 35H REDUIRE LE NOMBRE DE SALARIES AINSSI DIRE FAIRE QUE DES CADEAU HAUT PATRONATS EST AU CAC 40 LES ACTIONAIRES M'EST LES SALARIE LAS LE GOUVERNEMENTS EN PALE BEAUCOUP MOINS LE COUT DU TRAVAIL LE PARTAGE DES RICHESSE REVENONTS PLUTOT SUR C'EST QUESTIONS OU EST HUMAIN D'ABORD JMG

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Berthier Gilbert

24/10/2012 17:22

L’ambition, c’est maintenant. On doit bien rigoler au MEDEF. Il suffit d’une poignée de patrons soucieux d’échapper à une mesure de justice sociale pour faire reculer le gouvernement. Inutile de manifester, il suffit d’avoir de bons relais dans les médias. Qui sont les pigeons de cette pitoyable reculade gouvernementale ? Selon « Le Monde », le gouvernement voudrait faire basculer en 5 ans, 40 à 50 milliards de cotisations sociales sur la CSG, au nom de la compétitivité. Qui seraient les pigeons de ce renoncement ? Le traité européen TSCG écrit par Merkel et Sarkozy vient d’être adopté, sans renégociation, par les voix du PS et de la droite. Ce traité est construit sur un diagnostic erroné : Il y aurait trop de dépenses publiques et sociales, ce serait la cause des déficits. C’est oublier que la crise vient d’une suraccumulation de capitaux spéculatifs. Adopter un tel traité, mélange d’austérité et d’autoritarisme, exprime une soumission totale à la puissance des marchés financiers. Serait-il impossible de penser l’économie sans se plier à leurs exigences ? Ce serait la soumission permanente aux agences de notation ! Et il y a pire encore. Les gouvernements européens font mine d’ignorer l’entrée en récession de l’Europe. En France, les objectifs affichés pour 2013 pour réduire les déficits seront inaccessibles par défaut de croissance. Les 2 ans d’efforts « justes » demandés par Hollande avant des jours meilleurs, seront vite balayés par l’aggravation de la crise… Il est facile d’imaginer les risques sociaux et politiques engendrés par cette spirale infernale. Avec la montée du chômage et de la pauvreté, il y aura danger d’une dévalorisation du pouvoir républicain, coupable de démission et d’impuissance. Allons-nous laisser écrire la suite de l’histoire par ceux qui nous mènent au désastre ? Impossible ! Face à cette crise, qui prend la dimension d’une crise de civilisation, la rupture avec le capitalisme est une nécessité urgente. Il nous faut construire un processus de dépassement des logiques du système. « L’Humain d’abord ! » exprime cette ambition. Faire sauter le verrou de l’Europe libérale est un objectif réaliste, car les peuples ne supportent plus de se voir enfermés dans des logiques de régression. Les fanatiques de « La finance, d’abord ! » peuvent être mis sur la défensive. Cela suppose une action déterminée et persévérante du PCF. La refondation de la construction européenne par la renégociation des traités pour aller vers une Europe solidaire deviendrait alors accessible. Gilbert BERTHIER

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